Théophile Gautier. Le nid de rossignols. Книга для чтения на французском языке - страница 3

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bien en point – прекрасно

dimanche m – воскресенье

robe f – платье

épaule f – плечо

montrer – показать

fille f – девушка

prendre pour – принять за

ange m – ангел

manquer – отсутствовать

plume f – перо

vieux – старый

sire m – государь, господин

oncle m – дядя

tenir par la main – держать за руку

de peur – от страха

fantaisie f – фантазия

s'envoler – улететь

laisser – оставить

penser – думать, размышлять

coup m de lance – удар копьём

carrousel m – карусель

tournoi m – турнир

en l'honneur de – в честь

réputation f – репутация

beauté f – красота

talent m – талант

faire le tour de – объехать

cependant – впрочем, однако

fier – гордый

vivre dans la retraite – зд. жить уединённо

voir – видеть

guère – почти

petit – маленький

page m – паж

enfant m – ребёнок

cheveux m pl – волосы

blond – белый, светлый (о волосах)

vieillard m – старик

chenu – седой

hâlé – загорелый, обветренный

cassé – разбитый

porter – нести

harnois m – доспехи

guerre f – война

Texte et devoirs

1. Trouvez un intrus.

1. cheveux, guerre, blond, chenu;

2. oncle, cousin, cousine, page;

3. plume, lance, tournois, harnois.

2. Trouvez les mots suivants dans des phrases.

Лучше чем, имели талант, участвовали в турнирах, как два ангела, были не слишком этим горды, изолированно от другого мира, совсем седой.

1. D'ailleurs dans le château vivaient deux cousines qui chantaient mieux que les oiseaux. 2. Elles étaient très belles et avaient du talent. 3. Beaucoup de jeunes hommes participaient aux tournois en l'honneur d'elles. 4. Elles s'appelaient Fleurette et Isabeau et elles étaient comme deux anges. 5. Leur réputation était connu en Europe, mais elles n'en étaient pas trop fières. 6. Elles vivaient isolées de l'autre monde et connaissaient seulement leur page et leur oncle. 7. L'un est encore enfant et l'autre est un vieux sire tout chenu.

3. Lisez le texte et dites si l'image suivante illustre bien le contenu.



Mais dans le château il y avait deux belles cousines qui chantaient mieux à elles deux que tous les oiseaux du parc ; l’une s’appelait Fleurette et l’autre Isabeau. Toutes deux étaient belles, désirables et bien en point, et, les dimanches, quand elles avaient leurs belles robes, si leurs blanches épaules n’eussent pas montré qu’elles étaient de véritables filles, on les aurait prises pour des anges ; il n’y manquait que les plumes. Quand elles chantaient, le vieux sire de Maulevrier, leur oncle, les tenait quelquefois par la main, de peur qu’il ne leur prît la fantaisie de s’envoler.