13. Observez l’emploi des verbes consentir, accepter, être d’accord. Traduisez les phrases.
1. En effet, je suis en cela d’accord avec vous.
2. Ses parents ne consentiront jamais à ce mariage.
3. Comment a t-il-pu accepter sans protester de pareilles exigences?
4. Je l’ai prié de me prendre avec lui. Il a consenti.
5. Es-tu d’accord qu’il faille remettre cette discussion?
6. Nous avons demandé au célèbre écrivain de répondre à quelques questions de ses lecteurs. Il a accepté volontiers.
14. Remplacez les points par les verbes consentir, accepter, être d’accord.
1. Je … que ce livre est un peu intéressant.
2. Peut-on … avec de telles affirmations?
3. Il … volontiers … nous donner une consultation.
4. Elle … cela mais à contrecoeur.
5. Je vous prie de… mon aide.
6. A mon grand étonnement, elle … nous recevoir immédiatement.
15. Lisez et traduisez le texte.
La Constitution du 4 octobre 1958, texte fondateur de la V-e République, a été adoptée par référendum le 28 septembre 1958. Elle est le quinzième texte fondamental (ou le vingt-deuxième si l’on compte les textes qui n’ont pas été appliqués) de la France depuis la Révolution française.
Norme suprême du système juridique français, elle a été, depuis sa publication, modifiée à 24 reprises soit par le pouvoir constituant, soit par le Parlement réuni en Congrès, soit directement par le peuple à l’issue d’un référendum. Elle comporte actuellement seize titres, cent quatre articles (dont un transitoire) et un Préambule. Elle ne se borne donc pas à organiser les pouvoirs publics, définir leur rôle et leurs relations, puisque ce Préambule renvoie directement et explicitement à trois autres textes fondamentaux: la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen du 26 août 1789, le Préambule de la Constitution du 27 octobre 1946 (la Constitution de la IV-e République) et la Charte de l’environnement de 2004.
Les principes essentiels issus de ces textes, et qui touchent pour la plupart à des droits fondamentaux, ont véritablement leur place dans le bloc de constitutionnalité. Les justiciables n’hésitent pas à invoquer leur violation devant le juge judiciaire, le juge administratif et le législateur est lui-même tenu de les respecter sous le contrôle vigilant du juge constitutionnel.
Préambule et article 1