Exercice 1.
a) Relevez les mots de la première colonne dans le texte, traduisez-les selon le contexte. Indiquez le genre des substantifs.
b) Reliez les mots de la première colonne avec ceux de la deuxième colonne.
Exercice 2.
Trouvez dans le texte de la nouvelle les expressions qui décrivent le paysage de la Méditérranée et faites-les entrer dans des phrases:
Le soleil, l’accent traînant des proteurs; les mille villas de carton pâte; la mer bleue, dure, scintillante, etc …
Exercice 3.
a) Donnez les équivalents russes des expressions ci-dessous.
sable (m) malaxé; fourmillement (m) des notifications; un personnage retors; des cocos pareils ne méritent pas leur fortune; être illuminé jusqu’au fond de l’âme; un tremblement de convoitise le parcourut; à portée de la main; des chairs avachies; caner devant un problème simple; jeux (m pl) de prunelle; des propos bourdonnaient aux oreilles; avoir une moiteur au creux du dos; s’en aller à vau-l’eau; humeur (f) atrabilaire; fléchir la rétinence.
b) Conjuguez les verbes suivants au présent, au passé simple et au passé composé à la forme affirmative et négative:parcourir, caner, bourdonner, s’en aller, fléchir.
c) Trouvez les dérivés des mots suivants:notification (f) , retors, main (f), chair (f), creux (m).
d) Donnez les synonymes et les contraires des adjectifs suivants:malaxé, retors, illuminé, atrabilaire.
Exercice 4.
Ajoutez les articles convenables dans les phrases ci-dessous et traduisez-les en russe:
1. Qui démêlera jamais ____ parts respectives de repentir et ____ peur du gendarme dans ____ trouble d’une âme vertueuse? 2. Il fut traité de « cachottier » par une épouse au regard amoureux, éluda ____ questions de son fils qui voulait absolument savoir le numéro du billet gagnant et se prêta de bonne grâce ____ cajoleries de sa fille qui, après l’avoir coiffé avec son peigne fin pour lui doner l’air moderne, décréta que, maintenant qu’on était riche, il ne pouvait plus être question de passer ____ vacances de juillet dans ____ pension de famille, à dix kilomètres d’une plage bretonne, et que la Côte d’Azur s’imposait. 3. Il plia ____ papier, le glissa dans sa poche, et encore perdu dans ses pensées, aperçut, comme à travers ____ brouillard, ____ sauvagesse d’une quarantaine d’années, à ____ chair blafarde, vêtue d’oripeaux orange à pois blancs, qui le regardait, tête penchée, avec espièglerie. 4. En approchant, ils découvrirent, comme ____ dépôt d’épluchures multicolores, ____ amoncellement ____ corps qui épousaient ____ courbe de la baie. 5. Naturellement enclin à ____ rêverie, il ne voyait plus ____ plage, ____ ciel bleu, ____ baigneurs, mais imaginait ____ usines groupées en rase campagne pour exploiter « son » invention. 6. ____ petite île inconnue des géographes, sans doute ____ pignon de roche volcanique, entouré d’écume, avec trois palmiers, ____ source, ____ silence. 7. Certes, ____ esprits timorés pourraient parler, dans ce cas, d’une sorte de chantage, mais Jean de Bize était ____ flibustier et, avec ____ hommes de cette trempe, quiconque s’embarrasse de considérations morales est vaincu d’avance. 8. Pourtant, ____ soir même en observant son fils de plus près, il fut obligé de convenir qu’il n’y avait rien de commun entre ____ potache brun et mollasson qu’il avait connu naguère et ____ adolescent flexible, blond et halé qui aujourd’hui, soutenait son regard avec ____ douce insolence. 9. Tandis que se déroulait ce discours mélliflue, Marcel Lobligeois pensait à ses vacances gâchées, à ses enfants dévoyés, à sa femme qui se consolait avec ____ autre! 10. Mal rasé, taciturne, bougonnant ____ injures, il effrayait ____ enfants par ses gestes incohérents, ils l’appelaient « ____ chiffonier ».